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L'épreuve d'histoire-géographie
du baccalauréat est redéfinie

(application pour le bac de juin 2005)

Son architecture générale est inchangée mais les compétences, les consignes sont précisées (B.O. n° 7 du 12 février 2004).

Trois modifications concernent la géographie:

  1. La composition ne sera plus accompagnée d'un croquis (pour au moins un des deux sujets) mais pourra être librement accompagnée de schémas (sous-entendu d'organisation de l'espace).
  2. L'étude de documents est profondément transformée puisque des questions doivent guider le candidat, qu'il est expressément fait appel aux connaissances du candidat et qu'il n'y a plus la limite des 300 mots. Là encore les documents d'appui doivent être majoritairement des cartes, des croquis et des schémas.
  3. Quant au croquis (épreuve légère 8/20), il ne sera plus accompagné d'une justification des choix cartographiques.

À première vue deux inflexions (prudemment…) introduites:

  • le rappel explicite et constant à la mobilisation des connaissances
  • un penchant vers des approches un peu plus spatiales mais tout dépendra de l'Inspecteur général et de la commission qui seront chargés de concocter les sujets.

Cela laisse la porte ouverte à des interprétations contradictoires:

  • le plus grand traditionnalisme: les connaissances
  • mais aussi une approche un peu moins «grandes puissances et territoires» et un peu plus organisation de l'espace.

Jacky Fontanabona