En nous inspirant de la thèse de J-Ch. Édouard (2001) qui avait déjà utilisé la nomenclature des activités française (NAF) pour classer les villes du Nord du Massif Central et pour mesurer la qualité de l’offre, nous avons forgé notre propre méthode. Plutôt que de prendre comme référence l’espace régional, nous avons préféré retenir l’espace national. Chaque activité de la NAF 60 a un poids plus ou moins élevé dans le total des activités de la NAF: le commerce de détail (52) est ainsi fortement représenté avec 10,92% des établissements, alors que la R&D (73) est quasi inexistante : 0,16% des établissements. Pour apprécier la valeur réelle de chaque activité (rare ou répandue), nous leur avons attribué un coefficient. Ainsi, les activités rarissimes auront un coefficient proche de 7 et les activités répandues un coefficient proche de 1. Au final, plus les petites villes obtiendront un nombre de points élevés (le nombre d’activités multipliés par le coefficient qui leur est attaché), plus leur importance sera mise en évidence. |