Enseignante: Alors, pourquoi peut-on parler de catastrophe? Nous écoutons. […]
Élève 1: Ben… alors, on peut parler de catastrophe dans le premier document … euh … ben … car on voit de l’eau de partout.
Enseignante: Alors, on peut parler de catastrophe car … car on voit de l’eau … Est-ce que tu ne pourrais pas me donner une petite indication sur cette eau justement?
Élève 1: Ben, c’est … Une … eau potable
Enseignante: Ah bon, elle est potable, cette eau-là? Tu la boirais, toi cette eau?
Réponse collective: Non!
Élève 2: Non potable
[…]Des échanges s’engagent sur l’eau, sa couleur, sa provenance.
Enseignante: C’est de la boue! D’accord? On voit de l’eau boueuse. Donc, on voit de l’eau boueuse, donc, partout. Ensuite, autre élément?
Élève 3: des bâtiments détruits derrière
Enseignante: des bâtiments détruits …
Élève 4: … Des voitures renversées …
Enseignante oui … Des véhicules ? Parce qu’il n’y a pas que des voitures?
Élève 4: Des barques en bois … En fait… Y’a plusieurs objets … N’importe où! […]
Enseignante: Alors, on peut en conclure qu’il y avait des morts mais rappelez-vous pourquoi peut-on parler d’une catastrophe? C’est le document 1 qui vous en parle. […]
Enseignante: Alors, ça a touché les humains mais justement dans le document 2 on vous disait le nombre de morts.
Les élèves répondent en cascade des chiffres au hasard.
Enseignante: Stop … Stop … Stop … Stop … Ce n’est pas le Loto! On ne donne pas les chiffres comme ça au hasard … […] un demi-millier de morts.
La description des dégâts se poursuit et l’enseignante conclut que c’est une catastrophe car il y a des dégâts matériels et humains.
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